Catégories : Fist dilatation extrême Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 7 ans
Elle me dévaste le cul
Il faut que je vous dise que ma femme est une maîtresse femme. Elle a du caractère et aime me dominer physiquement et sexuellement. Avec le temps et une complicité totale, nous sommes parvenus à un niveau de plaisir sexuel d'une intensité qui nous satisfait pleinement. Je suis soumis et j'aime me laisser guider, surtout que ma partenaire ne manque ni d'idées ni d'envies. Elle me connaît bien et sait combien j'apprécie la sodomie, puisque c'est elle qui me la fit découvrir d'une façon tout à fait inattendue.
Nous venions d'emménager et j'avais des travaux de réfection à entreprendre. C'était lors d'un été très chaud et j'étais donc en slip, à quatre pattes sous le lavabo. Elle m'observait. Je ne sais ce qui lui passa par la tête à cet instant, mais je sentis soudain quelque chose passer entre mes fesses. Cette caresse inédite (nous étions encore jeunes mariés) me plut et une partie de mon corps prit immédiatement une forme plus solide. Je voulus m'extraire de dessous ce lavabo pour répondre à ce qui semblait être une invitation, mais ma femme me poussa davantage vers le fond et je me cognai même le crâne aux tuyaux.
- — Ne bouge pas, je te l'interdis !
Je sentis l'objet passer et repasser sur le tissu de mon slip, entre mes fesses.
-
— Tu bandes, mon cochon. Tu aimes ?
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— Qu'est-ce que tu fais ?
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— Tais-toi ! Laisse-moi faire !
Ma femme baissa mon slip. Je bandais de plus en plus. L'objet passa entre mes fesses nues.
- — Laisse-toi faire, j'ai envie !
Entre mes cuisses, j'aperçus qu'elle avait à la main mon marteau, dont le manche me procurait cette caresse délicieuse. Je sentis quelque chose couler entre mes fesses.
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— Voilà, comme ça tu n'auras pas mal.
-
— Mais, que fais-tu ? Qu'est-ce qui te prend ?
Une nouvelle poussée me bloqua la tête contre le mur. Le bout du manche du marteau étala l'huile qu'elle venait de verser sur ma rondelle encore vierge.
- — Allez, maintenant on y va. Laisse-toi aller, tu vas aimer.
Elle poussa lentement, mais sans hésiter. Pas moyen ! Mon corps faisait barrage à cette intrusion, mes sphincters refusant de céder à la pression !
-
— Tu ne veux pas me faire plaisir ?
-
— Si, mais… Ah !
Ma femme venait de plonger son majeur entre mes fesses.
- — Voilà, je vais être bonne et t'accorder un échauffement.
Elle se mit à faire aller et venir son doigt entre mes fesses, doucement, jusqu'au bout. Petit à petit, je me relâchais et la douleur disparut.
-
— Tu aimes ?
-
— Putain, oui, j'aime !
Et c'était vrai. Son doigt se mit à tourner pour m'ouvrir. Je fermai les yeux et me laissai aller aux délices de cette sodomie digitale inédite.
- — Je suis sûre que tu peux faire mieux ! Je vais t'en mettre un deuxième.
La détermination de mon épouse me surprenait autant que mes dispositions. Je laissai échapper un nouveau cri quand le deuxième doigt me pénétra.
- — J'aime ça, souffla ma femme, je rêvais de t'enculer comme ça.
Sa voix était rauque et trahissait son excitation. Elle était agenouillée derrière moi et avait relevé sa jupe. Elle avait la main gauche entre ses cuisses tandis que la droite me sodomisait. Les deux doigts alliés me baisaient et je m'ouvrais devant eux. Elle les enfonçait au maximum et ses phalanges fouillaient mes intestins. Je ne pus retenir un gémissement quand elle toucha un point particulier. Un spasme me parcourut les entrailles et ma queue gonfla terriblement. Je me liquéfiais totalement et ma queue bavait ses filaments translucides.
- — Je vais te baiser ! Tu vas me subir ! gronda-t-elle.
Elle avait baissé sa culotte et j'apercevais son majeur qui tournait sur son clitoris. Le point qu'elle me massait avec assiduité m'envoyant toujours des ondes de plus en plus fortes, je ne pouvais retenir mon corps et m'enfilais sur les doigts de ma tendre épouse.
-
— C'est bon, baise-moi ! lui dis-je, cédant à une envie irrésistible.
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— Je vais te les mettre tous.
Cette menace me fit frémir… de plaisir. Je ne sus ce qu'elle fit, sur le moment, mais soudain je sentis une vague se lever. Je sentis que j'allais venir. Je me tortillais pour que la fouille soit totale. Ses deux doigts en crochet, elle me massait jusqu'au creux des reins. Je sentis ma semence bouillir, mon anus se contracta, provoquant une douleur délicieuse et emprisonnant littéralement ses doigts. Au bout de mon gland apparut une grosse goutte blanche.
- — Putain, je viens ! criai-je.
Elle se doigtait profondément et furieusement. Ma semence commença à s'écouler. J'avais la sensation de me dissoudre. Je n'éjaculais pas, je me liquéfiais sous l'action de cette caresse anale. Un sperme abondant et parfaitement crémeux s'écoula sur le sol, s'échappant de ma queue gonflée à bloc. J'étais à la limite de la douleur. Jamais je n'avais joui comme ça et ma femme m'avoua avoir ressenti la même chose. Elle me dit avoir joui davantage de la contrainte qu'elle m'avait imposée que de sa propre caresse. Elle m'avait dominé et nous avions tous deux aimé ça.
Depuis, nous avons bien progressé. Ses désirs ont gagné à la fois en intensité et en violence. Elle est devenue très exigeante en matière de sexe, n'hésitant pas à me faire part de ses envies sauvages. Et moi, je me soumets. Nous nous sommes équipés de godes, de plugs, qui servent à nos plaisirs les plus fous.
Je dis oui à tout parce que j'aime ça et qu'elle me fait vivre des sensations terribles. J'ai découvert combien mon corps et mon esprit pouvaient apprécier une vraie brutalité. En nous voyant, personne ne peut imaginer cela. Elle est blonde et plutôt menue, tandis que je suis du genre costaud et trapu. Elle aime me pousser à bout, me demander l'impossible. Elle prend plaisir à me téléguider, à m'infliger des gages et à me voir agir selon ses consignes.
oooOOOooo
Le jeu avait commencé par un paquet cadeau, déposé un soir sur la table du salon. En l'ouvrant, j'avais découvert un plug anal, long de dix centimètres, accompagné d'un message :
Ça doit rentrer ! Je reviens à 19 heures.
Il était 18 heures.
Je me rendis dans la salle de bains et y trouvai le lubrifiant que j'utilisais d'habitude. Je me dévêtis entièrement. J'étais excité, bien sûr ! Le plug noir pesait lourd. J'enduisis copieusement l'objet puis m'introduisis un, puis deux doigts dans l'anus en guise de préliminaire. Oh ! J'étais bien prêt, car aussitôt ma rondelle s'élargit !
Je posais le plug sur le bord de la baignoire et m'assis dessus en descendant lentement. Il pénétra jusqu'à la moitié, puis se bloqua. J'avais un peu mal et hésitais à forcer, mais la tentation de pousser cet objet entre mes reins m'incita à persévérer. Je me détendis et descendis encore sur le plug, qui forçait littéralement son passage. Brusquement, ma gaine avala l'objet. Le passage du plus gros diamètre me fit gémir de douleur. Une délicieuse douleur. Il me remplissait totalement et la sensation était énorme. J'étais presque fier de ma performance, mais surtout heureux de satisfaire au désir de mon épouse dont je devais attendre fiévreusement le retour pendant encore une demi-heure.
Quand j'entendis le bruit de la serrure, j'étais assis dans le canapé. Ma femme jeta ses clés sur la table, posa son sac et se tourna vers moi.
- — Fais voir, ordonna-t-elle.
Je me levai et présentai mes fesses pour l'inspection. Elle eut un murmure de satisfaction.
-
— As-tu bien lubrifié ?
-
— Oui, j'ai tout mis.
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— Tu as bien fait.
Elle s'approcha et écarta mes fesses, découvrant la partie du plug qui émergeait de mes reins. Elle s'en saisit et exerça une traction.
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— Doucement, dis-je, en découvrant que la sortie présentait aussi quelques difficultés.
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— Oui, mon chéri.
Elle était juste derrière moi et me mordillait doucement la nuque. Son autre main passa devant mon ventre et se saisit de ma queue bandée.
- — Hum, tu aimes ça !
Elle manœuvrait le plug en moi, le rapprochant de la sortie. Je la laissais faire en commençant à trouver cela très bon.
- — Allez, laisse-le sortir maintenant et montre-moi ton cul, tu sais que j'aime le voir béant !
Elle tira et le plug sortit, puis elle me poussa sur le canapé et contempla mes fesses.
- — J'adore voir ton orifice dévasté. Il est prêt, maintenant. C'est bien, tu auras moins mal.
Je la vis s'agenouiller sur le sol et sa main caressa mes fesses.
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— Tu vas être gentil avec moi ?
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— Oui, ma chérie.
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— Tu vas me laisser te faire ce que je veux ?
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— Oui.
Elle glissa un doigt. Aucun problème.
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— Tu sais ce que j'aime. Tu veux que je t'encule ?
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— Oui, ma chérie.
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— Supplie-moi.
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— Je t'en prie ma chérie, baise-moi.
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— Plus fort, mieux que ça. Gémis fort !
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— Je t'en supplie, prends-moi le cul !
Sa langue passa dans ma raie. C'était divin !
- — Je veux que tu me sodomises tout de suite ! Baise-moi !
Sa langue passa le cercle ouvert et s'enfonça entre mes sphincters. Je crus défaillir et jouir sous l'effet de cette langue gourmande. Deux doigts. Je me tournai vers elle et vis qu'elle avait ouvert son tailleur et son chemisier pour sortir ses beaux seins aux galbes généreux. Les tétons pointaient. Elle aimait la scène. Trois doigts.
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— C'est bon, ronronna-t-elle. Allez, encore une supplique !
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— Mets-moi tout ! Je veux ta main entière dans le cul !
Je commençais à perdre la raison tellement la scène prenait un tour porno. Je me mis à penser que quelqu'un nous regardait. Les trois doigts glissaient, nageaient dans le lubrifiant et entre mes muqueuses distendues.
- — Lève-toi, je veux te voir ! Installe-toi sur la table !
Je me couchai, le dos sur la table basse du salon, puis relevai les jambes pour qu'elle reprenne sa pénétration. Je parvins à glisser une main entre ses cuisses et la remontai sous sa jupe. Divine surprise ! Elle ne portait rien et sa chatte était trempée.
Cet attouchement fouetta son désir et elle poussa quatre doigts, réunis en cône, qui me massèrent la prostate et me mirent en transe. Je tentai de lui baiser le ventre, car je voulais sentir sa mouille et la boire. Ses yeux ne quittaient pas les miens. Elle avait un étrange sourire. Chaque avancée de sa main en moi provoquait un gémissement.
- — Oui, vas-y, mets-moi tout ! Baise-moi ! Baise-moi !
Je sentis son pouce venir s'ajouter au reste des doigts.
- — Je vais te baiser avec mon poing, je vais te fister !
De sa main libre, elle se caressait un sein. Elle en pinçait le téton et je la voyais se mordre parfois les lèvres.
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— Tu veux voir ?
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— Oui, je t'en prie.
Elle sortit un miroir du tiroir de la table basse et l'installa en face, sur le canapé. Je pus, enfin, découvrir mon cul transpercé par la main de ma femme, et prêt pour une visite complète ! Les cinq doigts poussaient. Je lançai ma main pour attraper son poignet et l'attirer encore plus profondément.
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— Oh ! Gourmand, tu aimes jouir par le cul ! Ça va rentrer encore un peu, un tout petit peu.
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— Oui, j'aime me faire baiser, Maîtresse !
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— Un jour, je te ferai baiser par un homme.
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— Fais ce que tu veux, je veux tout. Aaaaah !
Le poing était entré entièrement.
- — Ah, putain, c'est bon !
Je jouissais de cette sodomie profonde, le corps agité par des spasmes si violents que je craignis de tomber de la table. Mon épouse resta immobile, contemplant son poignet fiché entre mes fesses. Lentement, elle ferma le poing. Ma bite coulait comme une fontaine et mes sécrétions translucides mouillaient mon ventre. Avec délicatesse, elle massait l'intérieur de mes reins. La pression s'exerçait sur ma prostate. J'étais aux anges, autant par plaisir physique que par la réalisation de ce fantasme.
Elle attrapa ma queue en semi-érection. J'étais au bord de l'orgasme. Elle approcha son visage et lécha mon membre par petites touches. Chaque effleurement me faisait tressaillir. Elle jouait avec moi, s'amusait de mes soupirs, jouissait de mon excitation.
- — Je t'en supplie, achève-moi.
Le poing se mit à bouger doucement entre mes fesses. Elle mit la main entre ses cuisses et je compris qu'elle avait, elle aussi, atteint les limites. Je la regardai s'enfoncer trois doigts dans la chatte. J'entendais les bruits, je voyais ses doigts gluants aller et venir. Ses yeux étaient dans le vague, mais braqués sur mon cul. Plus son plaisir augmentait, plus le poing allait vite.
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— Je te baise, rugit-elle, je t'encule comme une chienne !
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— Oui, encule-moi plus fort.
Ma semence surgit au bout de ma queue raidie. Ma femme se pencha, sans cesser de se baiser, et trempa la langue dans ma semence en gémissant.
- — Vas-y ! Allez, vas-y, gicle sur ma langue !
Je continuais à couler, doucement, sans arrêter. J'étais en train de fondre. Je vis qu'elle jouissait elle aussi, et qu'elle avalait tout mon sperme.
Je souffris durant quelques jours, mais nous fîmes le serment de bien vite recommencer ce genre de petit jeu.
mmmmh quelle superbe récit... Il en a bien de la chance ce coquin ! |
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